Pour réaliser cette synthèse, les observations les plus récentes (octobre 2017 à février 2018) faites lors de visites « complètes » avec relevé de toutes les gueules au GPS (plan de terrier) ont été utilisées. Ces informations ont été recueillies par Mac Desjardins, Paul Simon, Stéphane Wagner, Martine et François Thommès.
La lecture de l’article « Suivi d’une population fores- tière de Blaireaux dans le massif de Haye » publié dans CICONIA 40 (1), 2016 permet de mieux appréhender la situation géographique de ce terrain d’étude(problématique des axes autoroutiers notamment).
Les terriers concernés sont ceux qui ont accueilli aumoins une fois une mise bas. Bien qu’il s’agisse de la quasi totalité des terriers que nous considérons comme terriers principaux, la terminologie un peu plus vague de « principaux terriers » a été préférée.
Quelques terriers secondaires ont aussi fait l’objet de plan de terrier. Leurs caractéristiques ont été reportées dans un tableau à part mais ceux-ci ne figurent pas dans les graphiques présentés ci-après.
Aucune distinction n’a été faite entre gueules actives et non actives car leur nombre est trop variable d’une visite à l’autre.
Les gueules isolées et espacées de plus de 20 mètres des autres gueules du terrier n’ont pas été prises en compte. C’est une mesure arbitraire mais il fallait bien trouver les limites géographiques visibles du terrier. En effet, certains terriers présentent un noyau plus ou moins compact de gueules qui se distinguent nettement de gueules qui s’étendent parfois sur plusieurs centaines de mètres.